BRS Rapport annuel 2022

[ 12 ] - Rapport annuel 2022 Impact ? Lieven : « BRS ne travaille pas avec des visites uniques, mais avec des contrats de trois ans. Cela offre un cadre dans lequel les choses peuvent évoluer et avoir plus d’impact. » Bert : « En tant que nerd rationnel, j'attache beaucoup d'importance à l’efficacité. Il est tout de même absurde que ces personnes soient obligées de réinventer l'eau chaude alors que nous venons de vivre le même processus et que nous pouvons partager notre expérience. Non pas qu’il soit possible de proposer facilement des solutions, mais nous pouvons les aider à trouver une réponse plus rapidement. » Jan : « Nous faisons certainement du bon travail. Dans un environnement stable, la microfinance offre aux agriculteurs de réelles chances de progresser. Mais les circonstances ne facilitent pas toujours la tâche. Il y a l’explosion démographique, le changement climatique entraînant de fortes sécheresses, la guerre…Tous les efforts peuvent être balayés d’un seul coup. » Arnold : « Nous travaillons à une échelle limitée, bien sûr, mais si Wasasa peut générer un effet multiplicateur, un exemple à imiter, il y a de l’espoir. L’essentiel de l’essentiel Lieven : « De toute façon, je suis fier de ce que nous faisons. La collaboration entre BRS et KBC qui permet cela me procure un très bon sentiment. » Arnold : « Il y a tellement d’expertise chez KBC. C'est génial que cela puisse se faire ! Pour moi aussi, c’est une expérience très enrichissante. » Jan : « Moi, cela me permet de me ressourcer. Vous vous immergez pendant une semaine dans l’essence même du développement et du financement. Cela me permet de réfléchir à nouveau à mon travail chez KBC. » Bert : « Honnêtement, je voyais les choses en noir à un moment donné. "Dans quelle misère vivent ces gens ?", ai-je pensé. Et puis il y a encore la guerre. Qu'est-ce que nous faisons ? Mais je me suis rendu compte que nous sommes au-delà de l'essentiel de l'essentiel ! Là où tout commence : les agriculteurs qui produisent de la nourriture. Grâce au microfinancement des agriculteurs, nous aidons à reconstruire un pays. Cela me donne de l’espoir et me motive beaucoup. »

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